L’impermanence des choses aborde l’histoire des collections dans une perspective réflexive, poétique et teintée d’humour.
L'exposition traite des pratiques thérapeutiques en Suisse romande et des multiples formes de transmissions liées aux plantes dans le monde.
L’industrie du chocolat a été l’une des branches les plus dynamiques sur le plan publicitaire. La maison Suchard, fondée à Neuchâtel en 1826, a joué un rôle d’avant-garde dans ce domaine.
L’impermanence des choses aborde l’histoire des collections dans une perspective réflexive, poétique et teintée d’humour.
Quelles sont les questions posées par les collections ethnographiques en ce début de XXIe siècle et en quoi celles-ci restent-elles pertinentes pour interpréter notre présent ? Comment rendre compte de la richesse du patrimoine ethnographique neuchâtelois sans l’enfermer dans une logique chronologique, géographique, ethnique ou fonctionnelle ? Comment valoriser un fonds très contrasté et diversifié sans en rester à l’exposition des chefs-d’œuvre qu’il renferme ?
Sous la forme de tableaux poétiques, l’équipe du MEN fait intervenir l’histoire de l’Institution, les fantômes qu’elle abrite, les enjeux qu’elle recouvre et les pratiques sociales qu’elle analyse.